Chambre n°10 - Kiba Inuzuka !

[On verra ça ! XD Noon, Kiba, reste ! x) *Sort*]

(Je peux venir si tu veux )

(Je m'en doute XD )

PUTAIN ! N'en pouvant plus, je me leva de mon lit en un bond et ouvrit ma porte avant de claquer bruyamment derrière moi.

J'arrivais dans ma chambre et lança la serviette sur mon lit en même temps de fermer ma porte avec mon pied et de partir m'habiller. Prenant le mot avec moi, je me regarda dans le miroir un instant avant de partir vers sa chambre assez tendu.

Je revenais donc dans ma chambre, et m'habilla dans des vetements mode playa, soit un bermuda blanc et t-shirt noir avec ceinture de la même couleur que celui ci et des lunettes de soleil. Bon, je vais aller soigner mon corps au centre-ville moi. Rangeant vite fait, fin, très vite fait ma chambre, je partis en direction de la sortie du pensionnat.

J'arrivais dans la chambre et me dézappa pour me rhabiller dans des vêtements propres. Me sentant mieux, je repartis de ma chambre en fermant la porte derrière moi, casque sur les oreilles.

La porte entrouverte, j'ouvris celle ci en foutant un taqué avec mon pied avant de la refermer sèchement et à clefs. Me tournant donc vers Kiba qui s'était affalé sur son lit, je m'avança de lui et lui foutu pour commencer, une claque dans la gueule. Pas une petite. Un poing plus exactement. Une sorte de commencement des festivités.

<< On a plein de choses à se dire tout les deux. >>

( Ramène donc ton blondinet qu'il appelle les pompiers : D )

Passant des les couloirs, voulant me rendre à ma chambre, je vis Konan s'enfermer dans la chambre de Kiba, l'air en pétard.

« Bah... ! »

Regardant à gauche, puis à droite, m'assurant qu'il n'y avait personne, j'approchai de la porte et plaquai mon oreille contre elle. J'écoutai leur conversation, sans gêne. J'ouvris grand les yeux et ma bouche également. Entendant les pas de Konan revenir, je reculai précipitamment, ouvris une autre porte au hasard, un placard à balais, et me cachai dedans. Dans ma hâte de me cacher de cette folle furieuse, je me pris le pied dans un balai qui fit accrochai une tablette dont un seau vide en métal en tomba et atterrit sur ma tête. Je tombai à la renverse, ne voyant plus rien, en criant. Ce fit un vacarme assourdissant ! Pour la subtilité, c'est raté. Je ressortis quelques minutes plus tard, une vilaine bosse sur le front, et allai frapper à la porte de Kiba.

« Kib' ? C'est moi. Tu m'ouvres toutou ? »

Pourquoi j'ai l'étrange impression qu'il s'est passé un truc horrible ?

[ Haha, il va défoncer la porte alors mon Naru'. (a) ]

N'entendant rien, même pas un grognement, pour dire que je pouvais entrer, j'avalai bruyamment ma salive et tournai lentement la poignée de la porte. J'ouvris la porte et y passai la tête, regardant à l'intérieur de la pièce. Je vis alors Kiba, couché au sol. Il dort ? Il est tombé de son lit ? Dans la noirceur de la nuit, je m'aventurai dans sa chambre, un endroit ennemie, car, ne l'oublions pas, Kiba est un Kuro. Je me mis à genou, à côté de lui, et le brassai par le bras.

« Toutou, tu te réveilles ou pas ? »

Sentant un liquide visqueux entre mes doigts, j'enlevai ma main de son bras et la portai à mon visage. C'es tout rouge... De la confiture de fraise ? J'eu soudain un violent haut-le-coeur en reconnaissant l'odeur du sang.

« Kiba ! »

Je le retournai sur le dos, voyant avec horreur qu'il était coupé au niveau du poignet, un morceau de verre dans l'autre main. Putain, c'est quoi ce bordel ? Il n'aurait quand même pas osé ? Mais non Naru', le verre a seulement prit vie à cause d'une décharge radioactive venant de l'espace et à sauter sur le pauvre Kiba inoffensif. Oui, c'est sûrement ça.

« Mais qu'est-ce que je raconte... »

Dans l'espoir qu'il ouvre les yeux, gémis, ou j'en sais trop rien, qu'il fasse seulement un signe, je lui donnai une violente claque sur la joue, puis une deuxième sur l'autre et ainsi de suite.

[Wow, t'y es pas allée de main morte, Julia, avec Kiba ! J'aurai jamais cru Oo Dommage que mon Kiki' est occupé, Naru' aurait eu de l'aide x)
Au passage, je connais un certain toutou qui risque de regretter ce qu'il a fait quand le rouquin sera au courant (a)
*Repart en sifflotant*]

[ Ah, euh... hein quoi ? ]

N'obtenant aucune réaction de la part de Kiba, je m'affolai encore plus. Restant figé comme un pauvre abruti durant de longues minutes, fixant le corps meurtri de mon ami, je clignai finalement des yeux, reprenant enfin mes esprits. D'un mouvement vif, je pris le portable de Kiba - ouais, ouais, j'en ai pas un moi - et composai le 911.

« Allo ? ALLO ?! Huston, on a un homme à terre, un homme à terre ! Vous m'entendez, allo ?! Je veux un ambulance dans les plus bref délais, au nouveau pensionnat de Tokyo ! Vous voyez le quel ? Celui avec les clans de merde, et blablabla ? OSEF ! Je veux une ambulance RIGHT NOW ! Compris ? Huston, pchhh, over. »

Je raccrochai et fourrai le portable dans ma poche sans m'en rendre compte, attendant les secours. Je fous quoi pendant ce temps là moi ? Instinctivement, je me penchai vers Kiba pour écouter son coeur. Il battait, mais très faiblement. Je soupirai de soulagement. Au moins, il est encore un tantinet en vie ! Les dix prochaines minutes furent les plus loooooooongues de ma putain de life ! Quand je vis enfin les ambulanciers entrer, je fahis leur sauter dans les bras et pleurer de joie, mais je me retins. Je ne dois pas perde la face, pas maintenant ! J'ai encore un peu de fierté tout de même. Bref ! Les ambulanciers embarquèrent Kiba sur un civière et ils sortirent de la chambre, moi sur leurs talons. Direction l'hôpital.

[ Ça va comme ça ? :B ]