Chambre n°4

J'arrivais dans ma chambre, allure normale et visage neutre. Posant mon sac sur mon lit, je rangea mes affaires calmement avant de me poser au sol, reflechissant le visage porté vers l'extérieur. Je devrais peut être aller faire un tour, au moins pour voir si les gens y sont interessants. En m'aidant du sol, je me releva et sortit doucement de ma chambre dans des pas quasi inaudible.

J'entrais dans ma chambre et referma la porte doucement derrière moi. En m'asseyant sur mon lit, je pris un coussin entre les bras et me mit à plonger mon regard bleu à travers la fenetre qui laissait voir la nuit de tockyo. Même dans l'ombre, des lumières nous éclairent ici...

M'étant endormit dans mes réfléxions, je me reveilla quelques peu surprise par terre. Hum... Je vais avoir mal au dos. Me tenant celui-ci, je m'aida d'un appui pour me lever et m'habiller calmement. Une fois prête, je sortis de ma chambre dans des habits noir complet.

J'arrivais dans ma chambre et la referma en la claquant bruyamment pour m'étaler dans mon lit tranquillement. Couverture jusqu'au cou je ne mis pas longtemps à m'endormir n'ayant pas oublier de laisser la lueur de la lune traverser la fenetre bien evidemment.

Je me leva rigidement de mon lit après une nuit pourtant paisible. Le jour est déjà là, non la pluie. Il est quelle heure ? Hum... On a qu'à dire que c'est l'heure de manger. Mettant mon piercing sous mes lèvres grâce à l'aide de mon miroir, je sortis par la suite de la pièce après avoir prit une douche rapide dans la petite salle de bains de la chambre.

J'entrai dans ma chambre et me mit en position assise sur le lit tout en regardant à travers la fenetre le reflet bleu de la nuit entrer dans la petite pièce blanchatre. Posant ma tête contre le mur, je commença à fermer les yeux doucements et à me laisser envahir par plusieurs rêves.

Une fois révéillé de mon sommeil, je sortis de mon lit pour me prendre une douche froide et m'habiller. Après quelques minutes passé à rien faire, je sortis de ma chambre en direction des couloirs.

Je souri a Konan

Coucou ^^ et oui je me suis fais transferer ici

Je bailla, crever.

(je dois y aller)

Arrivant dans la chambre numéro à toute vitesse, je faillis me récher au sol parce que j'arrivais pas à arreter mes jambes de courir. C'est alors en ouvrant la porte, yeux rouge de tension colérique en moi, de souvenirs, de temps de chose, que je reprenais ma réspiration avant de lui lancer froidement :
- Donne moi ces putains de photos.
Serrant ma machoire pour m'empecher de faire un meurtre et respirant fort, je pouvais qu'espéré que ce batard de chien me les rendent sans broncher. Même si, les probabilités étaient minces et que j'en étais conscient.

Sortant de ma poche la photo toute froissé qu'il avait posé sous le palier de ma porte, je m'approcha de lui et lui enfourna ça dans la bouche séchement avant de le plaquer contre un mur.
- Joue pas ça avec moi.

Je lui pris les poignets et les serra très fort, l'écartant de moi puis je cracha la photo.

Kiba il me semble que tu as oublié qui je suis.


Je le regarda, énervé. Je serra a lui casser les poignets.

Baissant la tête pour cacher mon visage, je serra mes dents de douleur encore plus fort que je ne le faisais d'enervement.
- Lâche..moi.. lui balancais-je toujours sechement pour pas perdre le peu de dignité qui me restait envers cet enfoiré de pédé !
Tentant de reprendre ma respiration, impossible de me détacher de sa douleureuse emprise. Mes poignets, vont explo..ser à ce putain de rythme là. Je les sens, ...déjà plus.

- En quoi ça te regarde ?
Prenant mon poignet qui me faisait le plus mal dans ma main, j'essayais de le faire bouger mais ressentait illico presto une douleur qui me faisait saigné les lévres à force de me mordre.
-Et toi t'es toujours le même enfoiré.

- LÂCHE MOI SALE PEDE !
Lui foutant un coup de genoux dans les couilles, je pouvais pas m'empecher de gémir de douleur à cause de mon poignet qui tenait entre ses mains. M'essuyant vivement la bouche avec la manche de mon sweet, je le regardais avec des yeux noirs mais faible. Impossible de lui foutre une droite.

Je lacha un juron a cause de son coup a un endroit sensible. Je réagis vite alors. Je lui choppa les cehveux et les tira vers moi mon visage a quelque centimètre du sien.

TOI! J'espère que tu sais ce que tu as fais? Tu vas le regretter.

Je le jetta sur mon lit et lui coinça les poignets les attachant sur la tête de lit.